25/11/2023

E clarificaram

As eleições para a Constituinte, em Abril de 1975, tinha sido um enorme revés para a piolheira fardada e para os arrebanhadores paisanos do lúmpen . Não foi suficiente. Em falta ficara tirar-lhes o pio.

12/11/2023

Quem tiver alguma coisa a dizer, avance e fique em silêncio *

Elementar, mas não percepcionado. Por múltiplas razões das quais uma das principais  senão a principal seja a de nos depararmos (é a mais prolífica) com espécimes que corporizam em si tudo que de mais vil há na natureza humana e que de forma tão sublime o Kraus descreveu na conversa entre "o optimista e o eterno descontente" (cena 29 do 1ºacto de «Os Últimos dias da Humanidade»).
O optimista apresenta-se 
-" O senhor não pode negar que a guerra, abstraindo das consequências positivas para os que todos os dias têm de olhar a morte de frente, também deu azo a uma elevação espiritual." ("You can’t deny that the war, apart from positively transforming those who must daily look death in the eye, has also raised people to a higher spiritual level.")
É o que mais há, e não há mais abjecto.

09/11/2023

Ideias producentes

Eis um projecto que, implementado, a largo prazo, tem tudo para colher bons frutos. Nada tem a ver com a tremeluzente sandice do «rendimento básico incondicional». Nesta, e desconheço uma série de importantes detalhes, mas, ainda assim, encontro-lhe virtudes dificilmente mensuráveis. É, por exemplo, mensurar o efeito demolidor para a noção de 'vítimas da sociedade'; é, outro exemplo, o efeito 'pedagógico' ao nível da literacia financeira ou da importância da poupança em gerações futuras.

02/11/2023

De uma 'tropa' da qual digo

"mesmo que a sepente se contorça diante de mim, continuo a duvidar da sua seriedade" (1) 

Le symbole d’une vision du monde obtuse et sectaire

"Um grande momento já encontrou muitas vezes uma estirpe pequena, mas nunca uma estirpe tão pequena encontrou um tempo tão grandioso" (2)

Il y a comme une drôle d’atmosphère. Un abattement généralisé, une méfiance, une peur qui se faufile dans les regards, les corps crispés dans le métro, les conversations où on regarde dans son dos en murmurant. C’est le conflit Israël-Hamas qui ravive la rage identitaire entretenue par l’islamisme et aidé par le Wokistan, mais surtout la parole décomplexée, l’expression outrageuse de n’importe quelle opinion, la colère qui l’accompagne, l’identité qui gueule derrière chaque conviction, la confusion humaniste.
Mona Chollet, la gourou des femmes sans amour, la penseur de la déresponsabilisation féminine collective, pourvoyeuse d’une belle arnaque historique sur les sorcières réduites à n’être que des victimes, se pique aussi d’apporter sa pierre au conflit Israël-Hamas. Elle s’offusque d’un tweet où elle interpelle Libération dont la couverture du 9 octobre osait afficher le pogrom du 7 octobre :
« Vous êtes au courant qu’il y a aussi des centaines de tués côté palestinien, @Libé ? Des familles entières massacrées ? Pas la bonne couleur de peau, peut-être ? »
Des familles juives viennent d’être massacrées mais Mona Chollet ne peut pleurer que les morts de son camp, les damnés de la terre, les oppressés de la colonisation, comme le lui a appris le catéchisme islamiste. Quant à la couleur de peau, j’en souris presque d’absurdité. Mais comme ce n’est pas suffisant, elle se fend d’un long texte sur son blog pour défendre l’idée d’un Etat binational.

Il existe 57 pays musulmans dans le monde. Un seul Etat démocratique et juif. Un Etat juif où 20 % de la population est arabe israélienne, où le directeur de la banque d’Israël est un Arabe israélien, où des députés, des médecins, des ingénieurs, des infirmiers, des commerçants, des étudiants sont arabes israéliens, voilà qui pose problème aux antisionistes-antisémites. Je ne dis pas que tout est pacifié, il subsiste des problèmes graves nés de la question palestinienne tragiquement irrésolue, mais je précise que les Arabes israéliens sont plus épanouis et plus libres en Israël que n’importe quelle minorité dans n’importe lequel des 57 Etats à majorité musulmane.